16 septembre 2016
Syndicat FOCeA

Usage illicite de la videosurveillance pour contrôler les agents du SARM : Le Président STRAUMANN confirme !!

Dans un article précédent (ici), nous vous informions avoir sollicité le Président du Conseil départemental du Haut-Rhin, Eric STRAUMANN, à la suite de plaintes que nous avions reçues de la part d’agents du Service Appui Routes et Matériels (ex-Parc de l’Equipement), dénonçant l’usage de la vidéosurveillance pour contrôler leurs horaires de travail à leur insu. Nous demandions une enquête administrative en vue d’établir la véracité des fait.

Dans sa réponse en date du 13 septembre 2016 et que vous trouverez ci-dessous, le Président admet qu’un usage « inopportun » de la vidéosurveillance dans ce service de la Direction des Routes et des Transports a été constaté au cours du mois de juin et nous informe qu’il a fait procédé à la suspension immédiate des autorisations de visionnage des images sur ce site, en attendant de faire un point complet lors d’un prochain Comité Technique Paritaire.

Pour notre part, nous persistons à penser que cet usage « inopportun » est également parfaitement illicite d’autant, que  selon les informations qui nous ont été rapportées, de tels agissements ne seraient pas isolés.

Il est URGENT de mettre fin à ces dérives que FORCE OUVRIERE ne peut admettre !


5 août 2016
Syndicat FOCeA

La vidéosurveillance utilisée pour fliquer des agents du SARM à leur insu ?

Bonjour,

Nous vous prions de bien vouloir prendre connaissance du courrier que nous venons d’adresser au Président STRAUMANN à la suite de plaintes qui nous sont parvenues de la part d’agents du Service Appui Routes et Matériels de Colmar, dont les horaires auraient été contrôlés par visionnage des images de vidéosurveillance, normalement destinées à assurer sécurité du site.

Nous demandons qu’une enquête administrative soit menée sans délai afin de déterminer l’exactitude des faits, qui, s’ils étaient avérés, sont constitutifs de délits sanctionnés par des peines maximales pouvant aller jusqu’à 3 ans d’emprisonnement et 500 000 euros d’amende.

ICI le courrier adressé au PCD